Revue de Presse
L’écriture ample, prolixe, nourrie de détails significatifs, brosse à chaque fois un tableau extrêmement fouillé de la situation en jeu avec, de surcroit, les élans d’une générosité sociale mâtinée d’une sorte d’humour qui peut voisiner avec l’absurde, toujours néanmoins greffé sur la réalité concrète d’une époque donnée.
Jean-Pierre Léonardini, L’Humanité
Dans une interprétation ciselée de ce personnage si attachant, le comédien Ali Esmili est prodigieux. Dans un style foisonnant, Vincent Farasse retranscrit avec intelligence et humanité, l’histoire de l’ouvrier Karim, l’histoire d’un sport et de deux athlètes d’exception, mais surtout l’histoire d’une société qui change. Et c’est passionnant.
Marie-Céline Nivière, L'Oeil d'Olivier
Le texte de Vincent Farasse est fluide est chargé d’émotion. L’attention n’est jamais relâchée et Ali Esmili le sert admirablement. Il est dans la peau de Karim dont il exprime tous les espoirs, la sensibilité, les passions et les douleurs.
Jean-Louis Blanc, Le Bruit du off
Une formidable pièce !
Geneviève Coulomb, Sudart
Mimoun et Zatopek revivifie de manière particulièrement féconde le lien entre théâtre et sport.
Marion Chênetier-Alev, revue Europe
Dans Mimoun et Zatopek, sport et théâtre participe d’un même combat, d’une même lutte pour la dignité.
Anaïs Heluin, La Terrasse
Un rythme très enlevé. Karim-Mimoun nous embarquent dans leurs histoires et ne nous lâchent plus.
Yves Poey, De la cour au jardin
